Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

Music of *The SUN*

Kyrié illusion


The New World Orchestra

"2000"


4 minutes 30 de détente !


évasion . . .

extase...









Malango, l'annuaire des sites de l'Ocean Indien


OU NORE PI VIV ANKOR IN PE

Rubriques du Sun

Sujets en cours sur The Sun

Tous les sujets du Sun

Archive : tous les articles

Tous les articles du SUN
Septembre 2014 : 1 article
Juillet 2014 : 1 article
Février 2014 : 2 articles
Novembre 2013 : 2 articles
Avril 2013 : 1 article
Mars 2013 : 1 article
Mai 2012 : 1 article
Avril 2012 : 1 article
Janvier 2011 : 1 article
Décembre 2010 : 1 article
Novembre 2010 : 2 articles
Septembre 2010 : 1 article

Inscription et liens



STATS

Bienvenue! Vous avez la parole, exprimez-vous...

L’oeuvre de Dieu, la part du diable

Hier j’ai revu ce très beau film de Lasse Hallström, (1999), tiré du livre de John Irving (The cider house rules), interprété par un merveilleux Michael Caine (Wilbur Larch) et un attachant Tobey Maguire (Homer Wells)

 

Durant la seconde guerre mondiale, dans un orphelinat au milieu des bois, le docteur Wilbur Larch, un être plutôt excentrique et attachant, se charge de réaliser "l'oeuvre de Dieu" en mettant au monde des enfants non désirés, mais ne néglige pas "la part du diable", puisqu'il lui arrive de pratiquer des avortements. Il enseigne le métier à l’un des orphelins, Homer Wells, réfractaire à l'adoption. Mais Homer, désireux de découvrir le monde, s’en va dès que l’occasion se présente, et il arrive dans une cidrerie dont il découvre les étranges règles.

 

Dans ce film, on a l’impression d’y retrouver un agglomérat de personnages dont chacun est le symbole d’un sujet difficile, les enfants abandonnés et les orphelinats, l’usage de la drogue, l’avortement, l’inceste et le crime réparateur, la fidélité en amour et les imprévus de la guerre etc… toujours actuels dans notre société d’aujourd’hui.

Tous ces sujets sont abordés sous le regard d’Homer, perpétuellement émerveillé et curieux de ce qui l’entoure, sans jugements préconçus envers tous ces êtres chez qui on retrouve le bien et le mal, l’œuvre de dieu et la part du diable, tout cela dans une présentation d’une très grande fraîcheur de sentiments et au milieu de paysages magnifiques.

 

Je ne comprends pas pourquoi ce film s’est heurté au jugement mitigé de la presse… Peut-être parce qu’il est trop proche de la vie.

Si vous ne l’avez pas vu, n’hésitez pas à le louer.

Ecrit par ImpasseSud, le Vendredi 23 Mai 2003, 12:28 rubrique "Ciné-club".
Repondre a cet article